Yuki Ichihara ( En cours )

Fiche des membres du personnel

Nom :
Ichihara.

Prénom :
Yuki.

Âge :
22 ans.

Sexe :
Féminin.

Orientation sexuelle :
Bisexuelle. (Aucune préférance en particulier)

Date de naissance :
27 Août 1986

Signe astrologique :
Vierge.

Statut :
Psychologue.

Expérience :
N'a pas beaucoup d'expérience.

Description physique :
La jeune femme est de grandeur plutôt moyenne, et un tour de taille dans la moyenne. Bien que sa silhouette soit plutôt svelte, elle sait parfaitement se défendre, et n'hésite pas à le faire lors des situations plutôt dangeureuses. Cela ne veut pas dire qu'elle est forte côté musculaire, mais elle sait se servir de prises plutôt fatals. Elle porte ses cheveux noirs plutôt longs, qui descendent blus bas que ses homoplates, au milieu du dos, et qu'elle n'attache que lorsqu'elle travaillle. Son visage au galbe parfait est plutôt blanchâtre, comme le reste de sa peau plutôt douce d'ailleure, et les signes de fatigues n'y appraîssent jamais. Ses yeux sont de couleur rouge, rouge sang, qui fait souvent fuir les gens. Côté vêtement, tout dépend de son humeur. L'été elle sera plus porté à mettre des vêtements plus légé, comme la plupart des gens en fin de compte. Lorsqu'elle travaille, pas contre, elle opte plutôt pour des habits plus sérieux, en tant que psychologue. Et lors de ses temps libres ... de simples chandails standards font l'affaire. Elle ne porte pas de lunettes, et n'est pas du genre à les porter pour le look. Sinon, elle porte du maquillage plutôt discrait de temps en temps, et pour elle, quelques bijoux de fait pas de mal. Sa posture est celle d'une personne à son affaire, fiable, et droite. Le dos droit, elle semble souvent inatteignable.

Description psychologique :
La jeune femme est d'un tempérament plutôt calme et posé, et réfléchit longueuement avant de répondre. Lorsqu'un problème s'impose à elle, elle le regarde tout d'abord sous tous ses angles possibles avant de faire quelques choses. Elle est plutôt sensible, même si ses airs froids son plutôt trompeurs. À première vu, n'importe qui dirait qu'elle n'est pas social, et qu'elle vit dans son monde. Pourtant, c'est tout le contraire. Elle observe, apprend, comprend ... Son esprit est beaucoup plus large que d'autre, et franchement, l'apparence physique ne compte pas pour elle. Elle regarde toujours ce qu'est la personne, avant tout. Qu'elle soit de couleur brune, blanche, qu'elle soit homosexuelle ou pas, elle les traitaits tous du même niveau lors des rencontres. Ce n'est que lorsqu'elle connait bien la personnalité de quelqu'un qu'elle apprécie ou pas. Mais juger, ça non, elle ne le fait jamais. Elle est un peu directe parfois lorsqu'elle dit la vérité en pleine figure d'un élève ou qui que ce soit, et peu parfois vexée, même si ce n'est pas du tout son intention. Surout, elle peut paraître froide en disant ses propos, alors qu'elle ne l'est pas du tout. C'est tout simplement qu'elle ne laisse jamais ses émotions prendre le dessus sur elle. La même expression pensive ou froide est souvent ce qu'elle aborde, bien qu'elle-même ne s'en rende même compte.

Histoire :
La vie de Yuki a toujours été... différente. Elle n'a pas vécu simplement, en allant à l'école, se faire des amies et grandire... Non. Cela ne s'est pas passé de la sorte. Tout d'abord, qui était ses parents ? De simples personnes, ayant un job plutôt payant et dur à faire. Justement, c'est pendant leurs travails qu'il se sont rencontrer. Et au fur et à mesure que le temps passait, ils savaient qu'ils étaient tombés éperdument amoureux l'un de l'autre. Seulement, voilà tout. Le chef de la compagnie était le genre de personne qui mélangeait comptence au travail, et sexe. Et justement, la mère de Yuki était une victime. Pour garder son job, elle devait coucher avec lui. Bien sûr, l'homme dont elle était amoureuse n'en savait rien, absolument rien. Et il fut un jour ou la vérité dû être exposé. Celui qui était destiné à être le père de Misa les surprits. Il entra dans une colère noir, noir charbon, et frappa le chef. La baguarre fut engagé. La jeune femme, quand à elle, ne pu qu'être qu'une simple spectatrice...

Quelques mois plus tard, Yuki vit pour la première fois le jour, dans un hopital comme les autres. Cette journée là n'était pas très ensoleillée, et la pluie et les orages faisaient partit du décors. L'accouchement n'avait pas été des plus faciles. En effet, il y avait eu des complications assez énormes, et la mère dut avoir une césarienne. Malheureusement, l'épreuve avait été trop grande... Et ce fut la dernière place ou on l'eu vu en vie.

~~~~~~~~~~~~

Dix longues années passèrent. La jeune fille avait été abandonnée dans un orphelinat. La vie n'était pas dur là bas, loin de là, mais elle refusait de parler aux autres. Souvent, elle s'asseyait dans sa chambre, et regardait silencieusement par la fenêtre. Pourquoi était-elle ici ? Ses parents ne l'aimaient pas ? Ils n'avaient pas voulu d'elle ?...
Bien sûr, ces questions si douloureuses restaient sans réponse. Personne n'était là pour les combler. La plupart de ses voisines la trouvaient étrange, elle qui était toujours.. un peu trop silencieuse. Disons qu'elle n'était pas le genre de compagnie dont tout le monde rêvait.

Puis un jour, la jeune fille fut adopté. Cela devait bien se passer à un moment, n'est-ce pas ? C'était une faille bien gentille, comme les autres... Ils n'étaient pas riches, mais ils firent en sorte qu'elle ai une bonne éducation malgré tout. Elle n'était pas le genre d'élève... disons, modèle, mais ses notes étaient très hautes, bien au dessus de la moyenne. Spécialement en théâtre. Elle adorait cette matière si... différente des autres. À l'âge de 16 ans, quelqu'un cogna à sa porte. Qui eut cru que c'était ce qui boulversera sa vie, en quelque sorte ? C'était la fin de semaine, et le soleil 'tappait' fort, très fort, plus que les autres jours précédants. Lorsque la jeune fille avait ouvert la porte, un homme se tenait devant elle. Il avait une barbe de plusieurs jours, et semblait assez désorienté, des vêtements à moitiés déchirés sur le dos.

« Bonjour... ? »

Avait-elle dit, un peu étonnée devant l'apparence de l'étranger, si négligée.

« Oui... hum... Tu-tu es Yuki ? »

Il avait bégayé légèrement, surement nerveux. La jeune adolescente avait arquer un sourcil, plutôt surprise de cette visite innattendu. Elle n'avait aucune idée de l'identité de son interlocuteur et naturellement se demandait comment il connaissait son nom.

« Oui. Vous voulez quelque chose ? »

« Je... je suis... ton.. hum... père. »

Le silence avait pris place, la jeune fille n'avait pas réagit immédiatement. Sa première réaction fut de lui claquer la porte au nez. Elle était restée debout un instant, puis, sous le choc, elle s'était assise et adossé à la porte, les yeux fermés. Bien vite, elle entendit à nouveau l'homme cogner à sa porte. « Ouvre-moi s'il te plait ! ». Elle entendait ses cries étouffés à travers la porte. Elle prit une grande inspiration, et tenta d'ignorer la présence qui se trouvait derrière elle. Les coups finirent par s'arrêter, et le silence revint. Elle prit une grande inspiration, puis, sans pouvoir s'en empêcher, sortit, puis coura à l'extérieur afin de lui parler. « BAM ! ». Un coup retentit. La jeune femme leva les yeux vers l'homme, le vit paniquée, puis.. le noir total....

~~~~~~~~~~~

Biiiiiiiiiiii... bip, bip, bip... La jeune fille entrouvrit les yeux. Un légé bruit régulier et familier lui parvint aux oreilles. Où était-elle ? Elle vit quelqu'un penché au dessus d'elle, habillé en blanc. Un médecin ? Elle tourna brusquement la tête et scruta les alentours. Que faisait-elle ici ? Elle tenta de se relever, mais le médecin la plaqua durement dans son lit. Pas très délicat de la part de quelqu'un qui est supposé guérir les gens.

« Je suis désolé, mais tu ne peux sortir d'ici pour l'instant. »

Misa lui jeta un coup d'oeil interrogateur.

« Tu as été touché par une balle, qui n'a heureusement atteint aucun de tes organes vitales. »

« Quoi... quoi ? Mais.. »

La jeune fille s'interrompit, prenant conscience de l'horrible douleur fulgurante qui émanait de sa jambe.

« Il vaut mieux que tu te repose maintenant. »

La jeune fille soupira d'exaspération et jeta un coup d'oeil vers la fenêtre, en serrant légèrement les dents. Le médecin s'était assit et l'observait silencieusement, ayant l'air de ne pas vouloir partir. Le regard azure de la jeune adolescente birfuquait souvent en sa direction, un peu énervé qu'il reste là. Mais elle savait que très bien qu'il devait s'assurer qu'elle ne parte pas ou qu'il ne se passe quoi que ce soit. Mais un médecin n'était pas normallement occupé avec les autres patients ?

« Vous pouvez vous en aller vous savez, les médecins n'ont pas autres chose à faire... ? »

Elle le vit sourire.

« Je suis infirmier, et je dois m'assurer que tu restes bien confortablement couché dans ton lit. »

Nouveau soupire. Elle n'aimait pas être observée. Tout sauf cela. Elle était parfaitement consciante qu'il s'amusait à la voir ainsi énervée, et cela ne faisait que la rendre encore plus de mauvaise humeur. Elle tenta d'oublier sa présence, tout en observa les voitures, qui semblaient minuscule de l'étage dans lequel elle était. Bien vite, elle ne fit plus attention au jeune homme d'une vingtaine d'années et son esprit fut occupé. Elle avait surement été touchée par la balle, à la place de celui qui se disait son père.

Plusieurs semaines passèrent, sans qu'elle ne puisse sortir de sa chambre, pour voir à nouveau le monde extérieur. Elle avait finit par s'habitué à la présence du jeune infirmier, et même de l'apprécier. Bien vite, des sentiments se développèrent pour lui. Mais bien sûr, elle se disait que ce n'était qu'une simple amnourette d'adolescente, comme on les décrivait si bien dans les livres. Pourtant, plus le temps avançait, et plus elle sentait son coeur battre et ses joues rougir en sa présence. Et un jour les mots sortirent seuls de sa bouche... '' Je t'aime''. Ces trois simples mots, qui pourtant, signifiaient énormément de choses, avait franchit l'obstacle qu'était le silence. Et c'était réciproque... mais elle savait bien qu'il ne disait cela que par pitié, en quelque sorte. Elle resta alors silencieuse, tentant d'agir comme si elle le croyait sincèrement, malgré le fait que ce n'était pas du tout le cas. Elle souffrait en silence... Pourtant elle n'avait pas raison. Il l'aimait lui aussi, mais il ne pouvait rien faire. Il n'avait tout simplement pas le droit : Il était majeur, et pas elle. Pourtant il craqua, étant un homme qui voulait combler ses désirs. Et ce fut dans un simple lit d'hopital que Yuki perdit sa virginité. Et elle sortit, quelques jours plus tard... Ne pouvant revoir l'infirmier à nouveau. Pourquoi ? Elle ne voulait qu'il risque la prison, malgré son coeur brisée. Au moment même où ses pieds touchèrent le trottoir, elle savait qu'elle n'allait plus le revoir et que de partir signifiait adieu. Elle n'en avait pas le droit, et lui non plus. Ce qu'ils avaient fait était... une erreur, une grave erreur.

Plusieurs années s'écoulèrent, et elle finit par oublier cette relation qui n'aurait jamais dû exister et cet amour qui avait été impossible. Elle revit celui qui se disait son père, et il finit par s'expliquer. Quelqu'un était à sa recherche, et voulait le tuer car il avait emprunté de l'argent, et ne l'avait pas remboursé. Malheureusement, elle s'était mis dans le champs de mire et avait reçu le coup à la place. Les policiers étaient arrivés assez vite pour l'arrêter, au moin. Elle continuat ses études, surmontant les choses difficiles qu'elle avait vécu, puis s'intéressa à la psychologie humaine. Elle étudia le comportement humain et toute les choses qui entouraient le sujet, dans l'espoir de devenir psychologue. Elle fut par la suite engagé dans un pensionnat nommé Fubuki, espérant qu'elle se trouverait elle-même, en quelque sorte...

Autre :
//

Vous

Prénom :
//

Âge :
//

Comment avez-vous connu le forum ?
Pub.

Est-ce votre premier perso ?
Oui.

Avez-vous lu les règlements ?
'' Je m'aime ''